D’où le pouvoir de création monétaire. La France l’a perdu dans les années 70 il me semble. Les banques privées aujourd’hui ne prennent quasiment aucun risque à prêter de l’argent qu’elles n’ont pas même si elle doivent le rembourser sachant qu’elles prennent des garanties (hypothèque, caution...). En cas de défaillance ça restera un dossier à traiter et la seule personne humaine qui en subira vraiment les conséquences c’est l’empreinteur...
Comme tu l’as dit il n’y a pas de pépé qui va mal dormir le soir car il a pris le risque de prêter de l’argent qui n’est pas remboursé... En cas de défaillance le dossier ne sera pas traiter d’humain à humain pour trouver une solution qui dans la plupart des cas consiste à aider l’empreinteur (pas forcément financièrement)...
Les états comme la FRANCE remboursent des intérêts à des institutions et sociétés privées pour de l’argent prêté (~50 milliards/an) soit l’équivalent des recettes de l’impôt annuel sur le revenu. Alors qu’avant ces intérêts n’existaient pas puisque c’est le pays qui créait la monnaie...
Un sujet qui mènent à de longues études et débats pour y changer quelques chose dans ce monde mais visiblement « tout le monde s’en fou » ou presque...
Les travaux d’Étienne Chouard sur le sujet sont intéressants...
PS : Je signe mon accord de prêt demain #investissementlocatif #pacteaveclediable !
RE: La planche à billets moderne