Ne pas être soutenu, bien plus encore !
Magnifique jugement auquel j'ai eu droit le 27 mai 2016.
Qui faisait suite à une divergence d'opinion sur un sujet.
Que je pourrais détailler ici, mais ce n'est pas l'objet.
Je pense que peut importe le sujet, à partir du moment où, dans une discussion, est lancé un argument ad hominem, on perd tout espoir d'avoir un débat respectueux.
Car celui qui en use se place volontairement au dessus de celui qu'il dénigre ainsi.
Et pour l'exemple qui nous occupe, d'une bien laide façon.
Surtout que, comme je l'explique ensuite, bien que je n'ai aucunement à me justifier, je ne touche PLUS AUCUNE aide de l'état depuis 2013 !
Cela en vivant d'une façon qui induit un impact positif sur la planète, puisque mon empreinte écologique personnel se situe à bien moins qu'une planète par an.
Que certaines personnes ne comprennent pas comment c'est possible et donc fabriquent d'innombrable supposition pour l'expliquer ne change rien à ce fait !
JE NE VOUS COUTE RIEN !
J'en ai malheureusement l'habitude.
Pourquoi dès lors l'évoquer ici ?
Parce qu'il s'agit d'un jugement qui m'a fait, et me fait encore bien mal.
L'individu qui l'a formulé, je n'en ai cure, bien que je l'ai revu une fois sans qu'il comprenne mon ressentis car pour lui c'est je cite "juste ne pas être d'accord".
Mais ce qui me fais vraiment mal c'est qu'une personne très proche, mon frère en l'occurrence, continue à le voir et partager des moments avec lui, cautionnant indirectement ces propos.
Bien sur, c'est mon ressentis.
Je comprend évidement que mon frère puisse le ressentir d'une toute autre façon.
Mais moi, si une de mes connaissance avait jugé mon frère de la sorte, il m'aurait fallu peller l'oignon avec cette connaissance avant même d'évoquer l'éventualité de continuer la relation.
Une façon bien naturelle de soutenir et de protéger mon frère.
En manque de soutient !
Et donc, oui, je ressens de la colère et de la déception.
Et j'ai besoin de l'exprimer.
Je dois l'exprimer.
Je ne peux plus l'absorber.
Je ne peux plus protéger les autres de ce qu'ils me font ressentir.
Même indirectement.
Les mots dur auquels j'ai eu droit parfois, depuis que j'ai "choisi" un mode de vie alternatif.
"Choisi" parce qu'il s'agit du choix le plus pérenne pour mon avenir, en fonction des circonstance et de mes possibilités.
Des mots qui font mal.
Des procès d'intention bien souvent.
Et qui me font me sentir encore plus seul en compagnie de ceux qui les formules que lorsque je suis seul, dans mes voyages.
Comme le dernier, où un manque de soutient presque total a manqué de me faire rendre les armes ...
Car j'avais froid.
J'avais faim.
J'étais épuisé.
Et par dessous tout je devais, encore, faire face à des jugements ... sans soutient, hormis 2 contacts qui me suivent ... et que je n'ai jamais rencontré en vrai.
(Merci à eux d'ailleurs, Marianne et Florian)
On peut se sentir bien seul dans ces cas là.
Cette année 2018 a été encore bien fournie en terme de jugements, de conflit, et de trahisons.
Là je dis STOP !
Il en va de ma survie...