L'écriture numérique a une dimension industrielle.

Les outils de blogs, réseaux sociaux ont instauré une tension entre industrialisation des formes et individualisation des écritures. Une génération automatique de contenus d’un côté et une singularité des pratiques d’expression de soi de l’autre.

Ce complexe "Architextuel" est un mix des pratiques créatives de l'écriture, du recyclage d'information et des bots qui alimentent le web d'écrits d’écran.

L'écriture dans toute sa complexité numérique doit être comprise dans une acception large de système technique de production, de manipulation de contenus sous l’angle de la programmation informatique des interventions matérielles de l’utilisateur.

L'éditorialisation, la circulation des écrits, entre pratiques de structuration, annotation, lecture et pratiques contributives, que l’on pense aux objets connectés, mais aussi aux imprimantes 3D : toute écriture peut potentiellement agir directement sur le monde physique.

Le renouveau du concept d’information, des formes et fonctions des incarnations des écritures numériques permet de jeter un éclairage nouveau sur les transformations actuelles du travail et de la création.

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