Démotivation, baisse de moral et production musicale

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Via mon blog personnel Audiodidacte.

Si tu lis cet article en pleine période hivernale, tu souffres peut-être d’un manque de lumière. Celle-ci passerait d’environ 100 000 lux les jours d’été ensoleillés, à parfois à peine 2 000 lux les jours d’hiver. Ce qui peut entraîner diverses complications et notamment un gros coup sur le moral. Je ne vais pas développer une théorie sur la dépression saisonnière. Je n’en ai pas les compétences. Je peux au mieux te conseiller d’acheter des luminaires puissants pour ton intérieur.

Mais parlons musique. Je t’invite dans ces moments et dans tous les instants difficiles de ta vie à produire davantage de musique.

Pourquoi ?

Au terme d’une session, il y a en général deux sentiments : la satisfaction ou l’échec.

Très exceptionnellement, le résultat est neutre. C’est surtout le cas quand tu expérimentes ou empruntes des chemins inhabituels. Tu as des difficultés à prendre du recul sur ce que tu viens de faire ou à carrément comprendre ce que tu viens de faire. Dans ce cas particulier, il ne s’agit pas d’un échec, car il te faudra du temps pour analyser ce résultat. J’aurais même tendance à dire qu’il faut dans tous les cas le voir comme positif. Car tu t’es risqué à autre chose et as certainement appris de nouvelles techniques de production.

La mauvaise session

Si rien n’a fonctionné, c’est en général la cause d’une mauvaise organisation ou d’un manque de connaissance. Et les deux sont corrigibles à force de travail. Tout de même dans ce cas de figure, on se dit tous les mêmes choses : « Pourquoi je fais ça ? », « Je fais de la merde », « Je ne suis pas fait pour ça », ou des réflexions simplistes du genre. Et là, c’est difficile. Il faut essayer de se changer les idées. Personnellement, regarder un bon film/série ou prendre l’air, ça fait le travail.

La bonne session

À l’inverse, lorsque la session se déroule bien, on oublie tout le reste. On ressent un profond sentiment de satisfaction, on a plein d’idées, on voit plein d’opportunités, de possibilités, etc. Et ce, peu importe notre état d’esprit précédant la session, même si c’était le pire. Ainsi, compose lorsque tu n’es pas dans ta meilleure forme.

« Je ne vais pas composer, je ne me sens pas bien. »

J’entends beaucoup de fausses excuses. On croit bien souvent à tort qu’un mauvais état d’esprit nous empêchera de produire correctement. À mon sens, c’est le contraire. C’est une excellente façon d’évacuer et concevoir des choses plus grandes, plus vraies. Il faut donc saisir ces occasions.

Le fait est qu’à mes débuts c’était plus souvent le sentiment d’échec qui découlait d’une session. J’étais rempli de doutes et je ne voyais que des problèmes que je ne parvenais pas à résoudre. Mais à force d’expérience, la tendance a fini par s’inverser. Et aujourd’hui, rare sont les fois où les sessions sont mauvaises. Auquel cas, il y a toujours quelque chose de bon à en tirer. « Bon ça sonne mal, mais je vois comment régler le souci... »

Ce qui revient à te dire :

Produis et produis encore. Tu te feras davantage confiance et ta musique sonnera de mieux en mieux. Il y aura toujours des doutes, mais ils seront toujours plus rares.

Cet article provient de mon blog personnel Audiodidacte. Si tu souhaites développer ta propre identité musicale, je t’invite à le consulter. Tu y trouveras, objectivement les meilleurs conseils et plein de ressources (dont des samples packs gratuits).

Je te souhaite le flow et n’oublie pas de produire,

Tibo, pour Audiodidacte

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