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Quand la physique quantique rejoint la métaphysique et la spiritualité

Bien qu’il n’y ait pas de correspondance exprimée comme telle, stricto sensu, entre les cosmologies traditionnelles et les données de la physique, il existe de nombreuses convergences. La physique quantique apporte, depuis plus de soixante dix ans, une contribution importante à la compréhension de l’Univers et de la matière. Elle permet de décrire et de prendre conscience de l’existence d’une Réalité, non perceptible aux sens, qui sous-tend la réalité perceptible à nos sens.

Pour comprendre la portée des découvertes en physique quantique, il est indispensable de faire une incursion simplifiée dans ses concepts, même si la compréhension de cette science est réservée à une élite. Plusieurs physiciens ont mis à la portée des non-initiés, en langage compréhensible et imagé (comme dans L’univers élégant» de B Greene), les théories complexes qui sous-tendent les relations entre matière et énergie, l’existence de multiples particules et d’univers parallèles, l’existence d’une matrice cosmique et du vide quantique.

Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que plusieurs physiciens de renom aient proposé des interprétations métaphysiques de leurs travaux concourant ainsi à combler le fossé entre sciences physiques et connaissances traditionnelles. «La science sans religion est boiteuse. La religion sans science est aveugle» disait A. Einstein. D’ailleurs, l’importance des concepts qui émergent de la physique quantique commence à imprégner les mentalités; certains vont jusqu’à parler de médecine quantique comme d’une perspective incontournable dans la compréhension de la maladie et des moyens de la traiter.

Relation matière et énergie, les différentes particules

Alors que pour l’Orient, l’Univers est énergie (Qi en Chine), pour l’occident, il a été longtemps considéré comme matière. C’est la découverte de la relativité générale puis celle de la relativité restreinte par A. Einstein (au début du siècle dernier) qui a permis de montrer que Matière et Énergie sont convertibles, (E=mc2). Les composantes élémentaires de la matière sont des structures énergétiques qui vibrent (principe de vibration). «Le champ est la seule réalité de la matière” disait A. Einstein. Matière et énergie forment le substratum de notre espace/temps, celui de la matière, au sein duquel s’appliquent les lois de cause à effet (principe de causalité), c’est à dire la mécanique classique de Newton.

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Différentes particules élémentaires ou subatomiques, (particules qui ne peuvent être décomposées en particules plus petites) constituent la matière et l’Univers. De nombreuses particules, chargées ou non, ont été décrites; parmi les plus anciennes et les plus connues : les électrons, protons, neutrons…. Depuis, les physiciens distinguent les particules de matière ou fermions (auxquels appartiennent l’électron et le neutron) et les particules vecteurs d’interaction ou forces élémentaires appelées bosons. Au sein des fermions, les particules sont regroupées en quarks et leptons. Protons et neutrons, dans le noyau atomique, sont chacun composés de 3 quarks en interaction. Les forces ou interactions entre particules de matière correspondent à des «vecteurs de force », sorte de particules échangées entre les particules en interaction. La plus connue est la force exercée entre le photon et l’électron. Cette interaction de nature électromagnétique est à la base de nombreux phénomènes physiques comme l’électromagnétisme ou les réactions chimiques. L’étude de l’ensemble de ces particules a donné naissance à une science appelée électrodynamique quantique.

Plus récemment à la diversité des particules, la théorie des Cordes propose l’uniformité des énergies à partir d’un état fondamental qui se retrouve à tous les niveaux de l’Univers. Les particules atomiques et subatomiques, actuellement connues, ne seraient alors que des manifestations de modes vibratoires différents de ces supercordes. Cette théorie séduisante reste toutefois sans réponse pour expliquer la différence de masse qui existe entre les quarks.

Les quatre forces fondamentales

Alors que la matière est essentiellement composée de vide habité par des particules en perpétuel mouvement, quatre forces fondamentales assurent leur cohésion. La gravitation est la force de la pesanteur, elle est responsable des marées, de l’attraction entre la terre et la lune. L’existence supposée de gravitons, à la base de cette force, reste à découvrir. Les interactions électromagnétiques permettent l’attraction entre le noyau atomique et l’électron. Elles sont à la base de la cohésion de la matière (de l’atome, de notre corps…) et conditionnent les réactions chimiques et les processus biologiques. Les interactions faibles sont à l’origine de la radioactivité β (phénomène au cours duquel des noyaux atomiques instables se transforment spontanément en des noyaux plus stables en dégageant de l’énergie sous forme de rayonnement). Les interactions fortes unissent les quarks ensembles ; elles sont responsables de la cohésion des noyaux et permettent la fission ou la fusion nucléaire. Les centrales nucléaires et la bombe atomique utilisent la fission nucléaire. D’intenses recherches se portent actuellement sur la fusion nucléaire (atomes d’hydrogène notamment) qui serait capable de fournir plus d’énergie qu’elle n’en consomme et cela de façon « propre ». Le soleil qui nous envoie des photons, des neutrinos et des protons, brille aussi grâce à un équilibre entre ces quatre forces.

Principe d’incertitude et principe de non-localité

La caractérisation des particules, dans l’espace et le temps, est soumise au principe d’incertitude de Heisenberg. Il est impossible, en effet, de mesurer la position d’une particule en même temps que sa vitesse de façon exacte en raison de l’interférence avec le mode de mesure. L’observateur, en quelque sorte, donne une existence aux objets quantiques. Ceci revient à dire que la particule quantique, bien qu’ayant une certaine position dans l’espace et une durée dans le temps, ne peut être définie par un ensemble de valeurs scalaires (position, vitesse). Elle est représentée par une fonction d’onde Psi (ψ) (selon l’équation de Schrödinger) qui donne la probabilité de sa distribution spatiale. « Réduire » la fonction d’onde (collapse du ψ) par l’intervention d’un observateur impose de faire un choix entre position ou vitesse, l’observateur est partie intégrante de la mesure. De plus, selon le principe de l’intrication quantique, deux systèmes quantiques différents ayant interagi (deux particules par exemple), ou ayant une origine commune, ne peuvent pas être considérés comme deux systèmes indépendants.

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Le concept de « non-localité » découvert par le physicien français A. Aspect, dans les années 80, apporte une preuve expérimentale de l’intrication quantique. Selon lui, les particules quantiques conservent des liens entre elles et ce, de manière instantanée, même à distance. Pour une paire de photons envoyés dans des directions opposées, une mesure effectuée sur l’un des deux photons fixe sa polarisation. Or, cette polarisation conditionne celle de l’autre photon de manière instantanée et sans échange d’énergie. Ce phénomène de polarisation simultanée suggère une non-localité des particules qui se comportent comme « une seule entité » (même dans le cas d’une distance colossale). Ce qui veut dire que dans l’univers quantique, il n’y a pas de séparation des objets ; la notion d’espace y est absente. Il existe alors une autre Réalité une et indivisible (en plus de la réalité du monde de la matière) qui bouscule la notion d’espace et de temps de la matière. Le monde matériel n’est que le reflet de cette Réalité de nature indivisible où toutes choses sont interconnectées.
ENERGIE, MATRICE COSMIQUE ET UNIVERS MULTIDIMENSIONNEL

Univers multidimensionnel et vide quantique

Au-delà de l’équivalence entre matière et énergie, la physique quantique propose que matière et énergie appartiennent à une matrice (matrice universelle/cosmique) qui les transcende et leur envoie de l’information. Dès les années 40, le physicien allemand M. Planck, un des pères de la théorie des quantas et le découvreur de la constante «h», qui relie l’énergie d’un photon à sa fréquence (E=hν), proposait l’existence d’une matrice, sorte de champ de conscience de l’Univers, contenant et reliant toute chose d’où seraient issues de la plus infime des particules jusqu’aux galaxies. Les formes ne sont que des manifestations d’une «énergie/conscience» universelle et les particules une densification du champ. Dans les textes bouddhiques du Sūtra Avatamsaka, qui remontent au troisième siècle, il était aussi question «d’un filet d’énergie» qui interconnecte tout dans le cosmos depuis les particules jusqu’aux étoiles.

PhysiqueQuantique4La physique quantique décrit également un Univers multidimensionnel, rejoignant ainsi l’existence de plusieurs plans dans l’Univers proposée par différentes traditions. L’existence de cet Univers, à plusieurs dimensions spatiales indépendantes, résulte de la théorie des cordes, ainsi que d’autres théories (comme celles d’Everett, Wheeler, Eddington, Finkelstein, la théorie «M» d’E. Witten) qu’il n’est pas nécessaire d’évoquer ici. Ces différentes dimensions peuvent communiquer par des «trous de ver»*1. Certains sont allés jusqu’à établir un parallèle entre les «trous de vers» des scientifiques et les tunnels lumineux décrits par les sujets en état de mort apparente (NDE). L’existence de mondes parallèles a été souvent source d’inspiration en poésie, musique, peinture (tels que J. Bosch, G. Doré, ou J-W. Baur).

Pour appréhender cet Univers multidimensionnel, il est nécessaire d’y intégrer le concept de «vide quantique», censé baigner toute chose (qui rejoint le principe de mentalisme de H.Trismégiste et de filet d’énergie du Veda). Le vide quantique (ou énergie au point zéro) est le substratum de base de cet Univers multidimensionnel. L’espace qui sépare les étoiles, les galaxies, les particules subatomiques est rempli d’une énergie invisible, l’énergie du vide quantique. Ce vide peut être relié au «AUM» (Tout et Rien) de la philosophie hindoue, le Tout qui est l’énergie cosmique au repos, le rien qui est un état non-manifesté, sans espace temps.

L’énergie du vide quantique se compose d’énergies potentielles fluctuantes qui comprennent tous les modes de vibrations possibles. Les fluctuations de l’énergie dans ce vide se matérialisent sous forme de champs d’énergie qui donnent naissance à la force qui crée les atomes (qui vibrent en résonance dans ce champ) et structure la matière. Le vide quantique fluctuant contient la potentialité de toutes les formes existantes de notre Univers et toute matière de l’Univers interagit avec ce champ. Ce vide possède une énergie fantastique ; mais celle-ci est statistiquement annulée par des phénomènes d’interférences aléatoires de tous les modes et de toutes les fréquences possibles. L’énergie potentielle est si grande dans chaque centimètre cube (densité de l’ordre de 10 puissance 92 Joules/m3) qu’elle dépasse l’énergie contenue dans le soleil. Des excitations ou polarisations particulières peuvent révéler ces états virtuels et permettre de récupérer dans des machines, ad hoc, une énergie électromagnétique plus importante qu’elles n’en consomment (générateurs d’énergie libre).

A l’aube du 21ème siècle cordes vibrantes, univers parallèles, dimensions supplémentaires sont les défis que le LHC (Large Hadron Collider), mis en place par le CERN à Genève, devrait permettre de relever. Les applications industrielles de l’énergie du vide sont un autre défi qui conduira à l’obtention de forces propulsives directionnelles (défi actuellement aux mains de la recherche institutionnelle ou privée, aux USA notamment).

Univers multidimensionnel et transmission de l’information

Puisqu’au delà de la matière visible se trouve un monde invisible qui appartient à une matrice énergétique/vide quantique, c’est à dire à un champ informationnel unitaire, atemporel, acausal, immatériel qui relie toutes choses entre elle, se pose la question du mode de transmission de ce champ vers le monde de la matière. Certains physiciens ont proposé que ce champ (de nature vibratoire) se transmette selon un principe holographique. Les différents champs d’ondes interférent entre eux dans le vide quantique en se comportant comme des hologrammes**2 qui se propagent de façon instantanée. Ces hologrammes relient et informent les choses entre elles à l’échelle cosmique. N. Bohr, prix Nobel de physique, pense que l’Univers est un chaos organisé qui exprime l’idée de l’hologramme du Tout universel, constitué par des fréquences harmoniques. Le principe holographique montre une réalité physique d’organisation où le Tout est dans toute partie du Tout, et la partie du Tout peut être plus ou moins apte à régénérer le Tout. Puisque chaque composante de l’objet contient la totalité de l’information, molécules, ensembles de molécules, cellules, organes, organismes vivants sont la matérialisation de fréquences d’énergies, reliées au sein du vide quantique, qui contiennent l’information de l’ensemble. Donc, chaque cellule, atome, organisme, être vivant, galaxie contient le grand Tout. Dans une cellule de brebis il existe l’information capable de donner naissance à une brebis (Dolly) de même que dans un pépin de pomme il existe la programmation du pommier.

Le cerveau serait, alors, pour K. Pribam (neurochirurgien), un hologramme vivant qui interprète l’Univers holographique, chaque partie du cerveau contenant l’information du Tout (voir ch : 3). Qui plus est, au sein du vide quantique, l’être vivant, par sa nature (formée de ses différents corps/véhicules) émet des vibrations représentatives d’un hologramme qui lui est propre. Autrement dit, l’Homme est un récepteur de l’hologramme qui intègre des informations des différents plans de l’Univers, il est également un émetteur qui participe à l’hologramme universel.

Ces notions de physique quantique permettent d’appréhender la Réalité non physique de la matière et des mondes invisibles. Elles peuvent apporter un fondement scientifique à certaines connaissances traditionnelles/ésotériques sur les différentes dimensions de l’Homme et sur sa place dans un Univers multidimensionnel.
PHYSIQUE QUANTIQUE, MÉTAPHYSIQUE ET CONNAISSANCES TRADITIONNELLES

Il est possible de simplifier les principes de la physique quantique, aux frontières avec la métaphysique, en disant que microcosme et macrocosme participent à une vaste symphonie cosmique dont les notes seraient de minuscules cordes qui vibrent d’une multitude de façons au sein du vide quantique. Une Énergie suprême/Conscience (le Logos, le Tout..) crée, informe, anime ce «vide» d’où naissent toutes particules, atomes, molécules, cellules, organismes, êtres vivants, galaxies. Matière et vide quantique forment un tout indissociable interconnecté par des ondes quantiques qui constituent le champ universel (matrice cosmique). Chaque émanation du vide quantique est un hologramme du grand Tout.

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Physique quantique et métaphysique

Les concepts révolutionnaires de la physique quantique ont conduit certains physiciens à proposer des interprétations métaphysiques de leurs travaux qu’il est intéressant d’évoquer. Pour eux, les univers/mondes parallèles sont à l’origine de notre existence. La «construction» de la matière physique résulte d’une information/conscience présente dans ces mondes. Ce qui revient à dire que notre corps physique (cellules, molécules, atomes, ADN), sont l’expression de cette conscience. Ce concept rejoint le fondement de plusieurs religions. «Le Père créa le monde par la pensée. Il pensa et désira la Lumière et la Terre» selon un mythe indien.

D. Bohm, physicien théoricien, parlait de « plénitude » de l’Univers, d’un Univers indivisible et pourtant distribué où la fonction d’un objet contient la totalité de l’information de l’Univers. Pour lui le cosmos est de la pensée ; la sélection des quanta d’énergie présents dans le vide quantique est guidée par une onde pilote présente dans un domaine inobservable de l’Univers (fonction d’onde Psi). Ce concept l’a conduit à parler d’un ordre «implicite», qui appartient à la conscience de l’Univers (en mouvement et création permanente) qui fonctionnerait comme un holochamp qui donne naissance à un ordre «explicite» qui correspond à la réalité observée par nos sens dans l’espace/temps de la matière physique. L’Univers passe, ainsi, continuellement d’un ordre implicite à un ordre explicite. L’ordre implicite appartient au «monde des archétypes» proposé par Platon et l’ordre explicite à sa manifestation. Dans un même ordre d’idée, selon F. Capra, physicien américain, auteur du Tao de la physique, la théorie quantique oblige à considérer l’Univers, non comme une collection d’objets physiques mais comme un réseau complexe de vibrations, parties d’un Tout unitaire.

    Physique quantique et connaissances traditionnelles

A ce stade des connaissances de la physique, il ne reste qu’un pas à franchir pour que les interprétations métaphysiques de la physique quantique rejoignent les connaissances traditionnelles. Ce pas a été franchi dans la littérature, en 2005, par E. Lazlo, scientifique philosophe du club de Budapest, dans Science et Champ Akashique. Il assimile le vide quantique, au champ Akhashique de la tradition hindoue. Akasha désigne en sanscrit Ether défini comme un medium fluide subtil qui sous-tend toute chose et devient toute chose. Or, le champ Akhashique est considéré comme une mer d’essences subtiles à partir desquelles tout émerge depuis les particules subatomiques jusqu’aux galaxies. Pour donner vie à toutes choses, ce vide actif est un champ énergétique informationnel qui contient les informations du Tout. L’information/conscience de l’autre Réalité qui transcende l’espace et le temps de notre monde matériel est donc omniprésente. Les traces laissées dans le champ Akashique, par tout ce qui se produit dans l’Univers, perdurent et informent toutes choses. Cette mémoire, connue sous le nom d’annales akashiques (livre de la vie), peut être accessible à certains sages ou initiés, dans des états modifiés de conscience (voir ch : 3).

En conclusion, à la croisée des chemins de la Connaissance…

La matière perçue par nos sens est le reflet d’une énergie qui s’étend dans un continuum d’énergies invisibles au sein d’un Univers multidimensionnel. Grâce à ses corps subtils/véhicules, l’Homme appartient à ce continuum d’énergies invisibles qui constituent les différents plans de l’Univers. Au sein de cet Univers, l’Homme possède une réalité visible (corps physique) et une Réalité non perceptible aux sens (corps subtils). L’état latent de la Réalité du Moi supérieur (Esprit/Soi-conscience) non visible, «appartient» au vide quantique, la réalité perçue par nos sens en est l’état manifesté dans l’espace/temps de la matière.

La Réalité du Moi supérieur (Esprit/Soi-conscience) correspond «au double spirituel», dans les enseignements initiatiques de l’antiquité. Le «dialogue» avec ce double (l’Esprit/soi-conscience) était un moyen, pour l’Homme, de percevoir sa propre conscience cosmique et la conscience de certains plans de l’Univers (voir ch : 3). J-P. Garnier Malet («géobiologue quantique») a repris, récemment («le double, comment ça marche») , le concept de double virtuel et immortel qui fonctionne dans les dimensions atemporelles de la conscience cosmique ; l’Homme peut y avoir accès par un dédoublement du temps (ouvertures temporelles). Le temps que nous percevons n’est pas le temps réel car il existe un temps imperceptible entre deux temps perceptibles. Un «dédoublement» permet de vivre dans le temps imperceptible qui relie l’Homme au passé et au futur, à son double spirituel. Les informations «dans ces ouvertures temporelles» arrivent sous forme d’intuitions, de prémonitions de façon consciente ou inconsciente, alors qu’un dialogue conscient est un des buts sur la voie initiatique.