Monologue d'un Steemians déprimé...

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Comment en suis-je arrive là ? Peut être vous êtes déjà vous posé la question s'il vous est arrivé de vous retrouver noyer par les soucis.

Comme beaucoup de gens je me suis mis dedans tout seul comme un grand.
Je suis le seul à blâmer pour mes actes, j'ai fini de jouer aux innocents, bien que moi aussi j'ai mes circonstances atténuantes, je ne raconterai pas ma vie.
Voilà une chose qui peut porter préjudice : trop se confier peut s'avérer nocif, même à ses proches. Je dis ça en toute état de cause car parfois j'ai pû saouler mon entourage, tout le monde n'étant pas disposé à écouter à l'instant T ou quotidiennement (ce qui peut s'entendre...), voire certaines personnes sont trop fragiles pour recevoir la charge émotionnelle des autres.

La procrastination, la faiblesse de caractère, les addictions, voilà ce qui mène vers un échec certains.
Je n'estime être de ceux contre qui le sort s'acharne. Pour le moment dans mon cas, il n'y a rien d'irrèmediable; pour l'instant...
Quand est ce qu'il sera trop tard ?
Vais-je rester là à attendre que la fatalité me frappé de plein fouet ?
Je me suis d'ores et déjà trop laissé aller et je sais qu'il sera très difficile de remonter la pente mais j'ai moyens, enfin je l'espère, en tout cas à chacun de trouver les siens ou d'explorer d'autres solutions quand on a l'impression que toutes les voies sont sans issues.
C'est d'autant plus compliqué lorsqu'on est isolé, sans familles, sans amis ou presque ou comme, mais il ne faut pas rester seul trop longtemps. Parfois, cela aide à se recentrer, il y a une bonne solitude. Pas celle qui vous rend amer, vous pousse à devenir mysanthrope pour x raisons, non celle qui vous met face à vous même quand vous avez l'intention de donner le meilleur de vous même.

Et les autres ? Comment les amener à vous si vous vous détestez? Hormis quelques bonnes âmes, la majorité fuiront et quelques fois avec raison car il n'y a peu de choses aussi vampirique que quelqu'un qui plongent vers les abymes.
Il faut être juste et se défendre , agir contre ce qui nous fais du mal, pas projeter nos frustrations sur autrui afin de soulager des pulsions auxquelles on peut très vite s'accoutumer...

Pour conclure ce monologue et non pour en finir avec le sujet, je dirai si l'on est rarement au bout de nos peines et il faut avoir de l'espoir, du courage, de la patience dans la vie, s'accrocher à tout ce qui peut être source de réel bonheur, faire des choses pour être heureux et ne pas attendre que la chance pointe son nez car c'est comme cela que l'on désespère.

Force et courage!!!

Ça fait du bien d'expulser ce que l'on a dans le crâne bonne nuit!

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