La folle de Manhattan



Le 9 juillet 2016, @soushi888 fut mené par le plus grand des hasards à rencontrer le groupe d'improvisation musicale jazzy-funky expérimentale : Les White Whales !

L'une des rare tounes qui n'est pas 100% improvisée et revient de temps à autre durant nos jamms est une reprise du standard jazz "Footprint" de Wayne Shorter. On garde la même structure harmonique et avec les paroles de notre grand chanteur Michel, on réinvente à chaque fois l'histoire de la folle de Manhattan !

En ce 9 juillet 2016, lors de ce tout premier jamm avec les White Wales, @soushi888 à tout de suite compris qu'il était tombé parfaitement à la bonne place ! Cet enregistrement le lui rappel à chaque fois !


Progression d’accords : Footprint

[Solo Trompette]
[Solo saxophone]
Elle se promenait dans la rue.
Nue, elle courait.
Affolée, affolée elle courait dans tous les sens.
C’était la folle de Manhattan.
Elle avait un couteau planté dans le dos
[solo de trompette]
Tout le monde crié
et le sang giclé.
Le sang giclé partout dans les caniveaux.
Et les bateaux. Et les bateaux regardés,
mais personne, personne, personne ne bouger.
C’était la folle de Manhattan.
[Solo saxophone]
[solo guitare]
Désespérée, elle cherchait de l’aide partout
Elle agonisait, elle agonisait
Elle criait au secours.
Elle pleurait et demandé, demandé de l’aide.
[Duo saxophone et trompette]
Et on se demandait qu’est-ce-qu’elle faisait dans la nuit
Tout seul son mari la cherché.
La police l’attendait.
On courait, on courait partout.
Mais personne, personne, n’agissait.
C’était la folle.
[Duo saxophone et trompette]
[Solo trompette]
[Solo saxophone]
Elle avait les yeux exorbités
Et une seringue dans son poigné
Rempli d’héro.
Elle était coké , ho coké la folle.
On la cherché partout.
La folle de Manhattan.
[Solo guitare]
OOOOOverdose.
Paradis artificiel.
Paradis artificiel.
C’est la folle, la folle de Manhattan.
[Solo Trompette]
[Fin]



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